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Intervention d'André Torra | Edité le 04/02/2024 20:18 par ANDRE TORRA |
Mesdames, Messieurs les élus, chers adhérents, chers amis, Je suis heureux de vous accueillir ici dans cette salle René Cassin de la Mairie et ouvrir cette première réunion d'information de notre association les sentiers de la Côte D'abord, je voudrais saluer les adjoints au maire ici présents. Alain CHABANEL, Dominique PETITPAS et Beatrice BRINGER qui sont parties prenantes de façon directe dans le projet dont on va parler. Je ne voudrais pas oublier les élus en général toutes tendances confondues qui plébiscitent notre démarche, ici et ailleurs, et qui ne manquent pas une occasion de le témoigner. Je noublie pas les riverains, les jardiniers de la côte, les viticulteurs, les apiculteurs qui se fondent dans le paysage en l?agrémentant de la vie maraichère et agricole. Certains sont peut-ètre parmi nous. Enfin, merci aux adhérents qui soutiennent lassociation et s'engagent dans le projet, sans lesquels l'association ne serait pas. Nous sommes ici, aujourd'hui, grâce au budget participatif 2023 de la municipalité. C'est justement ce budget qui permet la mise en oeuvre du projet de valorisation de la côte avec ses sentiers. Dans un contexte instable et risqué, la chose qui me parait la plus importanteet sur laquelle je voudrais insister, est que nous sommes confrontés à un enjeu majeur d'existence pour la côte. Je dis bien un enjeu majeur d'existence. Si le BIP se réalise, la côte ne sera plus ce qu'elle est, et ce que nous voulons en faire. Le risque n'a jamais disparu depuis une centaine d?année ; il est mème le plus important aujourd'hui. La décision du conseil d'Etat, attendue en 2024, pourrait relancer la poursuite du BIP entre GONESSE et GROSLAY. J'affirme sans détour notre opposition au projet de BIP dans sa globalité depuis SOISY jusqu'à GONESSE. | |
Il viendrait agresser de façon irréversible notre territoire et changer la qualité et l'équilibre de notre cadre de vie. Nous devons manifester notre opposition au BIP dès à présent en signant la pétition qui circule initiée par l'association à vivre sans BIP et en déposant un avis dans l'enquète du Schéma Directeur régional de l?Environnement de l'IleDe France (SDRIF-E) auprès du commissaire enquèteur. Je le répète, oui, en toutes circonstances, nous nous mobiliserons en soutien des élus et de l'association vivre sans BIP pour s'opposer jusqu'au bout au projet de BIP qui n'a plus de sens. A cet enjeu d'existence je voudrais afficher notre ambition de faire partager à tous les deuillois ce lieu unique. C'est une façon d'armer une ligne de défense contre le BIP. Qu'ils soient du centre-ville, du lac marchais, de la Galathée, des Presles, de la barre, les habitants doivent parler de la côte et la pratiquer. La réussite viendra en grande partie de la communication déployée à tous les étages dans le faire savoir. Plus on sera nombreux à aimer et pratiquer la côte mieux ce sera. Mais, sans plus attendre, passons au concret et à l'action. Le projet de valorisation de la côte avec ses sentiers dont on va parler est une réalisation dans laquelle l'association met tout son engagement et son énergie en lien avec la mairie. Ceci m'offre la transition pour passer la parole à Alain CHABANEL - Adjoint délégué à l'environnement, à la transition écologique et aux travaux - qui va nous donner la position de la mairie, avant que Martine et HERVE nous donnent plus de détail sur l?association, les objectifs et le plan d'actions. |